Entreprises familiales : les successions sont encore mal préparées
Alors qu'ils expriment une forte volonté de perpétuer l'héritage familial, 59 % des dirigeants d'une entreprise familiale n'ont pas de plan de succession défini. Seuls 11 % en ont établi un formellement, selon le deuxième baromètre Deloitte sur les entreprises familiales et la transmission. La fiscalité (18 % des réponses), l'absence d'un successeur motivé ou capable au sein de la famille (16 %) et des raisons intrafamiliales (16 %) constituent les principaux freins à la transmission. Pour autant, 76 % de ces mêmes dirigeants estiment que le repreneur idéal est un membre de la famille afin de préserver le caractère familial de l'entreprise. Les critères de sélection sont principalement son expérience au sein de l'entreprise (66 %), la manifestation de son intérêt (57 %), son leadership (56 %) et son expérience à l'extérieur (41 %).
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Editorial
Orienter, oui… imposer, non !
Quand le législateur devient allocataire d’actifs… En effet, la loi Industrie verte prévoit l’obligation d’introduire une part minimum d’investissement en actifs non cotés dans les contrats d’assurance-vie et PER lorsqu’ils sont investis via la gestion pilotée.