L'économie française toujours à la peine mais l'INSEE reste optimiste
Selon l'INSEE, le PIB français devrait progresser de 0,4 % au quatrième trimestre 2016 et ne faiblirait quasiment pas au premier semestre 2017 (+ 0,3 % au premier trimestre puis + 0,4 % au deuxième). La croissance atteindrait + 1,2 % en moyenne en 2016, et lacquis de croissance pour 2017 sélèverait à + 1 % à mi-année, comme un an plus tôt. Si les résultats des différentes échéances électorales en Europe et outre-Atlantique ont semblé raviver les incertitudes, d'où les deuxième et troisième trimestres atones de 2016, l'INSEE estime qu'elles n'ont pas pour autant entamé la confiance ni des entrepreneurs ni des particuliers. L'investissement des entreprises retrouverait du tonus sous l'effet de conditions favorables (notamment taux de marge et d'autofinancement rétablis et taux de crédit bas). De leur côté, les ménages devraient cesser d'accentuer leur effort d'épargne (le taux devrait se replier à 14,5 %), ce qui aurait pour effet de relancer la consommation (+ 0,5 % au quatrième trimestre 2016, puis + 0,3 % par trimestre au premier semestre 2017), et corrélativement de soutenir la production manufacturière des entreprises. Enfin, les investissements des ménages, qui ont progressé depuis un an au rythme de + 0,4 % % en moyenne par trimestre, devraient continuer sur cette lancée au premier semestre 2017, avec une croissance de lordre de + 0,6 % par trimestre.
Comment faire un don de titres aux Petits Frères des Pauvres
Editorial
Orienter, oui… imposer, non !
Quand le législateur devient allocataire d’actifs… En effet, la loi Industrie verte prévoit l’obligation d’introduire une part minimum d’investissement en actifs non cotés dans les contrats d’assurance-vie et PER lorsqu’ils sont investis via la gestion pilotée.