"Après un début d'année en demi- teinte, un printemps tonique et un été en pente douce, le marché de l'ancien retrouve des couleurs cet automne", affirme Corinne Jolly, présidente du groupe PAP (De Particulier à Particulier). Sur la période juin/juillet/août 2018, le nombre de compromis de vente signés était en baisse de 15 % par rapport à la même période de 2017. Pour le mois de septembre, il a augmenté de 3 %. Les conditions de crédit encore très favorables (entre 1,50 et 1,60 % en moyenne) permettent de dynamiser le marché de l'ancien, malgré des prix globalement toujours orientés à la hausse. A fin septembre, les prix de l'ancien progressent dans 19 des 22 villes analysées par PAP. Lyon et Bordeaux enregistrent les plus fortes hausses, avec un bond respectif de 7 et 6,9 % sur un an. A Nantes, Toulouse et Villeurbanne, la hausse moyenne des prix est égale ou supérieure à 5 %. Coté baisses, le mètre carré à Toulon enregistre le plus fort recul (- 3,6 %), suivi par Aix-en-Provence (- 2 %) et Grenoble (- 0,4 %). Paris est "sous pression", selon PAP, qui établit le prix moyen au m2 à 9 177 . "La demande est très forte dans la capitale (...) Pour vingt candidats à l'achat il n'y a qu'un ou deux vendeurs. Du coup, les logements partent en quelques semaines voire en quelques jours pour peu que le bien proposé soit au prix du marché".
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Editorial
Orienter, oui… imposer, non !
Quand le législateur devient allocataire d’actifs… En effet, la loi Industrie verte prévoit l’obligation d’introduire une part minimum d’investissement en actifs non cotés dans les contrats d’assurance-vie et PER lorsqu’ils sont investis via la gestion pilotée.